Les réseaux sociaux et services web se sont très vite généralisés, et ne touchent pas uniquement les jeunes de la génération Y. On estime par exemple que 70% des 65-74 ans au Royaume Uni sont actifs sur Internet. Ce vieillissement de la population digitale pose la question de nos profils en ligne une fois décédé. Même si le sujet n’est pas très gai, il risque de devenir une problématique majeure dans les années à venir. Un chiffre suffit à le comprendre : 3 utilisateurs de Facebook meurent chaque minute ! En 2060 il y aura plus de morts que de personnes vivantes sur le réseau !
Le site whoishostingthis.com fait donc le détail des procédures nécessaires pour désactiver nos différentes présences numériques à notre mort : Facebook, Google, Twitter, boîtes mails, Paypal… L’infographie aborde aussi un aspect intéressant de cette problématique : voulons nous laisser nos données en ligne accessibles à notre mort ? Cette question risque de devenir d’actualité, et fera partie de nos réflexions. On peut même imaginer qu’à terme, les souhaits quant à l’utilisation de nos données en ligne fasse partie des textes testamentaires.
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