L’Europe se dote d’une première plate-forme de Bug Bounty : pirates en herbe ou experts en hack sont sollicités pour déceler les vulnérabilités informatiques des entreprises. Garanti sans poursuites et récompenses à la clef. L’idée n’est pas nouvelle. En 1995, la société Netscape lançait le premier programme pour éprouver la sécurité de son navigateur. Depuis, la pratique est de mise notamment aux Etats-Unis où la sécurité internet est un véritable enjeu. A titre d’exemple, l’année dernière, pour contrer les cyber attaques, l’armée américaine a décidé de mettre en open source, Dshell, son outil de détection de failles de sécurité qu’elle utilise pour tester ses propres réseaux. En outre, Google, Facebook ou encore Mozilla proposent depuis longtemps leurs programmes de Bug Bounty .
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