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BYOD, cloud, reseaux sociaux ..... attention à la sécurité

De plus en plus de collaborateurs utilisent leurs appareils personnels en entreprise et se connectent au cloud et aux réseaux sociaux dans un contexte professionnel. Comment garantir la sécurité de ces nouveaux usages ? Mauro Israel, consultant formateur Demos et responsable du pôle audit sécurité et tests d’intrusion chez Fidens, dresse la liste des risques et donc des bonnes pratiques à adopter.

Les nouveaux usages remettent en question les modèles classiques de protection des systèmes d’information et des infrastructures réseaux et télécoms.

    ● Facebook, Twitter, Linkedin, Viadeo… Vous le savez, les réseaux sociaux ont envahi notre quotidien, privé comme professionnel.

    ● L’utilisation des smartphones et des tablettes explose en France : en 2012, en moyenne, 29 % des Français étaient ainsi équipés d'un smartphone et 8 % d'une tablette (+ 12 points chez les cadres supérieurs et + 11 points chez les revenus les plus élevés en un an).

    ● Cette explosion est parallèle à celle de la tendance BYOD (pour « Bring Your Own Device »), qui désigne la pratique consistant à utiliser ses équipements personnels (téléphone, ordinateur portable ou encore tablette électronique, donc) dans un contexte professionnel.

    ● Le télétravail et les situations de mobilité connaissent un essor sans précédent : avec le « cloud », il est désormais possible d’accéder aux données via des applications Web, à des services comme la messagerie, la bureautique et certaines applications métier (paie, comptabilité, gestion de la relation clients…). Une connexion Internet et un simple navigateur Web suffisent pour travailler en tout lieu et à tout moment.


Portés par la génération « Y » (les jeunes adultes), qui représentera pas moins de 40 % des actifs en 2015, ces nouveaux usages tendent tous vers le même dénominateur commun : le floutage entre vie privée et professionnelle et une interaction permanente entre ses deux univers auparavant étanches.

La question, dès lors, n’est pas de s’opposer à ces usages (qui le pourrait ?), mais plutôt de se demander comment faire pour qu’ils répondent à un niveau de sécurité et de contrôle supérieur – ou au moins égal – à celui qui était possible avant leur avènement.

source:http://www.demos.fr/fr/chaines-thematiques/espace-informatique/pages/actualite.aspx?NewsId=97

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